Mon père, ce Beauceron est un roman qui raconte l’histoire de la famille Fortin sur une période de 100 ans. Cette histoire se déroule principalement à Beauceville à travers la transmission d’une carabine de génération en génération. Il s’agit d’un récit
qui est inspiré de faits vécus et historiques. Il met en relation certains dialogues entre des personnages fictifs pour couvrir les événements du siècle dernier.

Mon père, ce Beauceron relate aussi les pages d’amour entre Hélène Thibodeau et Jean-Paul Fortin. Il parle de la vie active d’une Beauceronne à l’esprit entrepreneurial développé pour son époque. Elle démissionnera de son emploi à l’hebdomadaire L’Éclaireur de Beauceville pour se marier et s’occuper par la suite de ses cinq enfants.

C’est également le témoignage de la vie d’un homme d’affaires. Un Beauceron talentueux issu de la route Saint-Louis, un milieu modeste situé tout près de la rivière le Bras Saint-Victor. Il s’occupera de la ferme familiale pour seconder son père malade. Finalement, il deviendra copropriétaire des Autobus Fortin et Poulin inc. de Saint-Georges après avoir conduit pour le Quebec Central à travers la Beauce.

Ce roman est inspiré de personnages de la huitième, de la neuvième et de la dixième génération des Fortin. Ces vaillants travailleurs succédèrent à leur ancêtre Julien Fortin arrivé en Nouvelle-France en 1648.

Pierre Fortin, natif de Beauceville, est présentement à la retraite après avoir occupé divers postes de cadre supérieur au sein de la Fonction publique québécoise au cours de sa carrière. Il a décidé de nous livrer certains de ses souvenirs pour laisser une empreinte du passage de son clan familial pour ceux et celles qui suivront afin qu’ils se souviennent d’où ils viennent.

Dossier:  Autobus Fortin & Poulin – permis no. 1756-A

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