Archives mensuelles : octobre 2022

Florence Côté-Malo – permis no. 1535-A

Cie-Opérateur-Sociétés

Florence Côté-Malo – permis no. 1535-A

– 1955-10-31;

Service =

Saint-Fulgence – Sainte-Anne et Chicoutimi.
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Permis transféré à J.P. & Maurice Tremblay, en 1957.
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Permis transféré à Jos-Napoléon Tremblay – 1535-A en 1958;

Tremblay, Jean-Paul & Maurice – permis no. 1535-A
– 1958-06-05 au 1960-02-06.

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FIN

Edmond-Louis Tremblay – permis no. 570-A

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M. Edmond-Louis Tremblay, en compagnie de son épouse Marie-Jeanne (à gauche) – Coll. Blanche-Annette Tremblay

Edmond-Louis Tremblay – permis no. 570-A

1945 au 1955-10-31;

Permis transféré à Florence Côté Malo – 1535-A.
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Services =

1- Saint-Fulgence – Sainte-Anne – Chicoutimi ( autoneige);
2- Saint-Fulgence – Sainte-Anne – Chicoutimi ( autobus);
3- Arvida – Chicoutimi – Sainte-Anne – Valin – Saint-Fulgence.
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Description de la flotte =

Ford – 1945 ; ex. Autobus Saguenay – 24.
Prévost – 29s.
Prévost – 220 – 25s – 1946 – Neuf.

12- Prévost – Intercité – P-194-757-52 – 29s – 1952 – Neuf.
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Lors de la bénédiction de l’autobus no. 12 – M. Edmond-Louis Tremblay (3e à partir de la gauche) – Coll. Marie-Jeanne Tremblay

FIN

Thibodeau & Frère Enr. – Permis no. 692-A

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Coll. P.-A. Leger  (Sherbrooke, 1949)

Thibodeau & Frère Enr. – Permis no. 692-A

Autobus J. Prosper Côté – permis no. 692-A – 1945-10-12 au 1945-10-25;
Autobus Théoval Allaire – permis no. 692-A – 1945-10-25 au 1946-04-08;
Thibodeau & Frère Enr. – permis no. 692-A – 1964-04-08 au 1964-10-29;
Autobus Fortin & Poulin Inc – permis no. 692-A – 1964-10-28.
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Services =
1- St-Georges – St-Benoit – St-Honoré – St-Évariste – Courcelles –
Lambton –
Sr-Romain – St-Praxède – Disraëli. (autobus, autoneige et taxis).

2- St-Romain – Stornoway – Gould – Bury – East Angus et Sherbrooke.

3- St-Georges – Sherbrooke.

4- Transport de colis légers.
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Descrption de la flotte =

? – Prévost – Intercité P-424 – 1946.
? – Prévost – Intercité 29s – 1956.

1- Prévost – Intercité – P-057-581-50 – 37s – 1950.
5- Prévost – Intercité – 29s – 1949.
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FIN.

Autobus Fortin & Poulin Enr., permis no. 1756-A

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Autobus Fortin & Poulin Enr., permis no. 1756-A
Voir aussi:  Autobus Fortin & Poulin Inc. – permis no. 692-A

Le 19 juillet 1961, Autobus Fortin & Poulin Enr ( Jean-Paul Fortin et Benoit Poulin, prop.), St-Georges-Est, Beauce , permis no. 1756-A, achète le permis de “Québec Central” (353-A) pour un service d’autobus dans les limites et entre les limites de St-Georges-Est, St-Georges-Ouest, Aubert-Gallien et Aubin-de-l’isle jusqu’au terrain de jeux situé sur le côté ouest de la rivière Chaudière, et de Jersey-Mills à la gare du Québec Central située sur le côté est de la rivière Chaudière.

Restrictions : pas de service local de St-Georges-Ouest à St-Benoît, et, permis valide du 15 juillet à la Fête du travail, chaque année.

Le 24 juillet 1961, permis pour service de St-Georges-Est à Lac-Poulin et retour avec les même restrictions.

Le 15 septembre 1961, permis pour service de Beauceville au Séminaire de St-Georges et retour pour les étudiants et les professeurs, sans service local sur tout le parcours.

Le 6 octobre 1961, la Régie ajoute la restriction : aucun droit aux voyages spéciaux .

Le 2 octobre 1963, permis pour transport des étudiants de St-Georges-Ouest, St-Georges-Est, N-D-de-la-Providence, Rivière Gilbert à l’Ecole Normale de Beauceville-Est.

Le 15 janvier 1964, permis pour transport de paroissiens de St-Georges-Est à l’église de l’Assomption.

Le 3 novembre 1964, permis pour transport de colis légers dans les autobus.

Le 28 janvier 1965, le permis no. 1756-A (Autobus Fortin & Poulin Enr) est vendu à Autobus Fortin & Poulin Inc. permis no. 692-A.

Tragédie des Éboulements, le 13 octobre 1997 – 25e anniversaire

Saviez-vous

Autobus Mercier 8540 – Prevost LeMirage 1982 (photographié environ 1 an avant la tragédie à l’ancien terminus d’autobus de Place Laurier, Québec) – Coll. Martin Caron

Tragédie des Éboulements, le 13 octobre 1997 – 25e anniversaire

Le 13 octobre 2022 marque les 25 ans de l’accident d’autobus mortel survenu dans la municipalité des Éboulements. Cette tragédie routière demeure encore à ce jour celle ayant fait le plus de victimes au Canada.

L’autobus, propriété de la compagnie Autobus Mercier, transportait des membres d’un club de l’âge d’or en direction de L’Île-aux-Coudres. Il emprunta la Côte des Éboulements, ayant une pente raide avec un virage serré à droite à la base. Au moment de l’évènement, la route était sèche et dégagée.

Vers 13h45, le conducteur, André Desruisseaux, n’a pas pu ralentir pour négocier la courbe. L’autobus a percuté le garde-corps, l’a défoncé et a plongé plus de 10 mètres plus bas dans un ravin, atterrissant sur le côté gauche le long d’une voie ferrée surélevée. L’accident et la chute ont violemment projeté les occupants autour de l’intérieur du véhicule, blessant la plupart d’entre eux mortellement. Aucune marque de freinage n’est trouvée sur la route, conduisant les autorités à suspecter immédiatement une défaillance des freins. Des témoins ont également signalé l’odeur de liquide de frein brûlé provenant du bus.

Il y avait 48 personnes à bord du bus, dont le chauffeur. Cinq ont survécu à l’accident au départ, mais l’un d’eux a succombé à ses blessures un mois plus tard. Toutes les victimes étaient des personnes âgées du petit village de Saint-Bernard en Beauce, à l’exception du chauffeur d’autobus de 29 ans, originaire de Sherbrooke.

Un accident similaire s’était produit en 1974 au même endroit et avait fait 15 morts. Vu le contexte, plusieurs étaient mécontents que rien n’ait été fait pour rendre la route plus sécuritaire depuis ce temps.

Une enquête sur l’accident a été ordonnée par le gouvernement du Québec et dirigée par le coroner Luc Malouin. Le gouvernement provincial a cependant immédiatement annoncé son intention de reconstruire la route pour améliorer la sécurité en la déplaçant et en éliminant la courbe prononcée, investissant plus de 30 millions de dollars dans le projet.

Le 23 mars 1999, le coroner Malouin a publié son rapport final sur l’accident. La cause de l’accident a été déterminée comme étant une défaillance des freins. Le coroner mentionne que les freins ne fonctionnaient plus qu’à 30 % de leur capacité initiale et qu’André Mercier, propriétaire de la compagnie, n’était pas compétent dans la gestion de sa flotte d’autobus. L’épuisement du conducteur aurait également contribué à l’accident, ce dernier ayant dormi moins de 5 heures la nuit précédente et ayant travaillé plus de 50 heures par semaine.

Au début de son enquête, le coroner voulait évaluer l’état dans lequel se trouvait le conducteur et le niveau d’entretien de l’autocar. Luc Malouin était loin de se douter que son enquête allait bouleverser l’industrie du transport lourd.

Ainsi, une analyse sur l’industrie du transport lourd en général a permis de mettre en lumière la formation déficiente à plusieurs niveaux ainsi que l’absence quasi réelle de contrôle routier effectif. Le rapport a conduit à la limitation des heures consécutives de conduite, à l’implantation de normes pour la formation des conducteurs et l’entretien des véhicules ainsi qu’à imposer des vérifications mécaniques plus fréquentes, pour ne citer que celles-ci. En tout, ce sont plus de 23 recommandations qui ont découlé de l’enquête publique du coroner Luc Malouin.

À la suite de la tragédie, environ 150 nouveaux contrôleurs routiers ont également été embauchés afin de renforcer les contrôles mécaniques des véhicules lourds sur les routes.

La tragédie des Éboulements a entraîné une véritable prise de conscience chez les différents acteurs de l’industrie routière. Depuis ce temps, la sécurité entourant le transport lourd s’est améliorée de façon considérable.

Pour en savoir plus sur la compagnie Autobus Mercier, cliquez sur le lien ci-dessous:

Autobus Mercier Enr – permis no. Q-001062

FIN

Arthur Desrosiers – Permis no. 661-A

Cie-Opérateur-Sociétés

Arthur Desrosiers – Permis no. 661-A

– 1945-03-29 au 1967-07-28

Services =
Autoneiges :
Employés de Price Brothers entre Chicoutimi et Lac Onatchiway;
annulé le 05-11-1956.

Taxis entre la Barrière du Lac Clair et le Lac Betsy. (temporaire);
1952-09-05.

(Autobus) – Employés de Price Brothers entre Chicoutimi et Lac
Onatchiway; 1960-02-16.

Route = Chicoutimi -Ste-Anne – St-Honoré – St-David – Lac Clair – Lac
Épinette –
Rivière Brûlé – Lac Onatchiway.

1964 = 2 autobus;
1968 à 1971 = 1 autobus.

Contrat privé avec Price Brothers 1967 à 1971.

Permis annulé le 28-07-1967.
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FIN.

Les 17 régions administratives du Québec

Régions Administratives du Québec

Les compagnies d’autobus sont actuellement classées sous la catégorie “Cie-Opérateur-Sociétés”. Afin de faciliter davantage la recherche, les compagnies seront également regroupées selon leur région administrative d’appartenance. Cette section du site est en cours de rédaction et sera mise à jour graduellement.

01 – Bas Saint-Laurent
02 – Saguenay – Lac Saint-Jean
03 – Capitale Nationale
04 – Mauricie
05 – Estrie
06 – Montréal
07 – Outaouais
08 – Abitibi – Témiscamingue
09 – Côte-Nord
10 – Nord-du-Québec
11 – Gaspésie – Iles-de-la-Madeleine
12 – Chaudière-Appalaches
13 – Laval
14 – Lanaudière
15 – Laurentides
16 – Montérégie
17 – Centre du Québec